Année 2012

Mars 2012 : AIDE AUX PROFS a pu inspirer par son action une question sur les secondes carrières des enseignants posée aux 14 candidats à la présidentielle de 2012, via l’ouvrage de Sylvain GRANDSERRE et de Emmanuelle DAVIET « Qui va sauver l’Ecole » (éditions ESF).

 

12 Juin 2012 : interview de Daniel AUVERLOT, ancien Agrégé de Lettres Classiques, devenu Inspecteur Général de l'Education Nationale (il est en 2020 Recteur de l'académie de Créteil). :

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27 août 2012 : Nous sommes reçus au Cabinet du Ministre Vincent PEILLON (que nous verrons quelques minutes aussi) par Jean-Paul DELAHAYE (Conseiller Spécial), Bernard LEJEUNE (Conseiller Social).

 

22-25 Novembre 2012 : nous louons un stand au Salon de l’Education et organisons une conférence « Enseignants entrepreneurs » au forum Condorcet, à laquelle assistent 60 personnes.

 

Novembre 2012 : Rencontre au Cabinet de Vincent PEILLON avec Thierry LEROY.

 

19 Novembre 2012 : interview de Eric DEBARBIEUX, Délégué Interministériel chargé de la Prévention des Violences Scolaires :

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Année 2013

Juillet 2013 : Contribution de Rémi BOYER (remise à l'AFAE fin décembre 2012) au bulletin de l’AFAE consacré à « la GRH de proximité ». Il y propose une meilleure prise en compte des souffrances des professeurs (notamment en prévision des fins de carrière pénibles) avec une diversification des secondes carrières des professeurs. 

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Octobre 2013 : Publication par Rémi BOYER et José-Mario HORENSTEIN, préfacé par George FOTINOS, de « Souffrir d’enseigner…Faut-il rester ou partir ? » aux éditions Memogrames (400 p.)

 

Novembre 2013 : au Salon de l’Education, Rémi BOYER échange avec Sébastien MARTEAU, chef de cabinet du Ministre Vincent PEILLON, et Jean-Paul DELAHAYE, Conseiller Spécial du Ministre Vincent PEILLON, sur la question des secondes carrières des professeurs.

 

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Année 2014

29 Janvier 2014 : Rémi BOYER invité au colloque de la FEP-CFDT consacré à « la santé et les conditions de travail des enseignants ».

 

22 avril 2014 : Benoît HAMON répond personnellement à notre courrier de sensibilisation à la souffrance des enseignants au travail. Il répond sobrement « qu’il y est très sensible » (mais il a démissionné de ses fonctions avant la rentrée 2012).

 

21 mai 2014 : Rémi BOYER contribue pour AIDE AUX PROFS au colloque national du SE-UNSA sur le thème « 800.000 enseignants : et moi… ». Lors d’une interview de cette journée, nous attirerons l’attention sur un cas de souffrance professionnelle, Jacques RISSO.

 

Mai 2014 : Rencontre avec Yannick TENNE, Directeur adjoint du Ministre George PAU-LANGEVIN, pour lui proposer un dispositif de facilitation des évolutions professionnelles des professeurs tout au long de l'année, corrélés aux congés scolaires.

 

18 Juin 2014 : Organisation par Aide aux Profs de notre 1er colloque à la Bourse du Travail à Paris (60 professeurs y assisteront) avec Josette THEOPHILE, George FOTINOS, José-Mario HORENSTEIN, Laurence BERGUGNAT et Robert STAHL

 

Au cours de l’année 2014, AIDE AUX PROFS réalise des conférences sur la mobilité des professeurs dans les antennes académiques du SGEN-CFDT (Limoges, Versailles, Rouen).

 

Novembre 2014 : rencontre au Salon de l'Education et interview de Christian CHEVALIER, SG du Syndicat SE-UNSA. Rémi BOYER s’entretient 15 mn avec Florence ROBINE, devenue Rectrice de Créteil, pour attirer son attention sur la souffrance des professeurs et lui remettre « Souffrir d’enseigner…Faut-il rester ou partir ? ».

 

En septembre 2014, une jeune sociologue travaillant sous la direction de Agnès VAN ZANTEN (Directrice de Recherches au CNRS) publie un mémoire d’analyse de nos données, portant sur 2901 de nos contacts entre janvier 2011 et novembre 2013, qui nous révèle quelque chose de surprenant : la proportion des professeurs qui nous contactent de toute la France est quasiment la même que celle de la répartition démographique des professeurs dans les académies de l’Education Nationale. C’est donc la preuve que notre dispositif est réellement représentatif par son action, au niveau national, sur les problématiques que nous portons.

 

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Année 2015

AIDE AUX PROFS organise le 6 mai 2015 son 2e colloque à Paris sur le thème « Entrepreneur, un nouvel emploi d’avenir Après Prof ? » à l’amphi de la MGEN dans le 15e. 180 personnes y assistent. Thomas FAURE (PDG de Whaller), Frédéric LAHALLE (PDG de AFFINITY-MEDIA), Jean-Claude DELGENES (PDG de Technologia), Philippe ZOURABICHVILI (PDG de diverses sociétés) y étaient présents, ainsi que de nombreux professeurs accompagnés par l’association et devenus autoentrepreneurs.

 

31 mai 2015 : Publication par la Collection cadre Service Public de l’ouvrage « Mobilité des cadres et administration : la gestion publique des ressources humaines ». Rémi BOYER y a contribué pour une douzaine de pages sur les secondes carrières des professeurs. L’ouvrage est préfacé par le Ministre Alain LAMBERT et coordonné par l’ex-DRH du Ministère de la Défense, Jacques ROUDIERE.

 

21 Septembre 2015 : interview d'Alain JUPPE, ancien Agrégé de Lettres Classiques, plusieurs fois Ministre, Maire de Bordeaux, candidat à l'élection présidentielle de 2017 au moment de cette interview :

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Mi-Novembre 2015 : réédition de « Souffrir d’enseigner…Faut-il rester ou partir ? » en format Poche, en raison du succès rencontré par l’ouvrage. La MAIF en profite pour en parler dans l’une de ses publications à destination de ses 450.000 enseignants sociétaires.

 

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Année 2016

Le 15 juin 2016 a eu lieu le 3e colloque d’AIDE AUX PROFS. Jean-Michel BLANQUER, Directeur du Groupe ESSEC, était notre principal invité, ainsi que Didier COZIN (PDG de AFTLV) et Bruno DEVAUCHELLE (Enseignant-Chercheur). Le thème était « Le potentiel opérationnel des compétences des enseignants : de la compétence pratiquée à la compétence transférée ».

 

A partir de Juillet 2016 notre association décide de faire une pause dans ses démarches auprès de l'Education nationale, car Rémi BOYER qui était Responsable de Formations à distance au CNED depuis le 01.09.2001, cherche à évoluer de nouveau professionnellement. Après plusieurs propositions intéressantes de différentes structures (dont une de l'Education nationale qu'il supprime son association pour être intégré sur un poste d'IA-IPR en EVS, ce qu'il refusa), il accepte l'offre d'un Vice-Président de SNALC, Albert-Jean MOUGIN, de rejoindre son syndicat comme "Consultant non militant" avec une décharge entière de son poste en détachement.

 

L'objectif qui fut fixé à Rémi BOYER fut de créer pour le SNALC un dispositif comparable à celui qu'il avait créé avec l'association qu'il développe depuis juillet 2006, mais à l'échelle d'un syndicat de 10.000 adhérents, avec 30 antennes académiques. C'était un challenge intéressant, sans créer toutefois un doublon car le fonctionnement d'un syndicat est très différent d'une association comme la nôtre, et surtout pas les mêmes finalités.

 

Du 01.09.2016 au 31.10.2016 Rémi BOYER conçoit donc l'appellation "MOBI-SNALC", et en fait un dispositif dédié aux "MObilités" et "BIen-être", d'où le terme de "MOBI". Le Président de l'époque, François PORTZER, et le Vice-Président, Albert-Jean MOUGIN, en sont satisfaits.  Les élus académiques s'y impliquent progressivement et le syndicat SNALC met tout en oeuvre au niveau communication pour que "la sauce prenne". Le syndicat voit le nombre de ses adhérents augmenter.

 

Rémi BOYER a dû renommer l'association "APRES PROF" l'été 2016 pour que durant ces 2 années de décharge, il consacre 100% de sa mission au SNALC, ce qu'il a respecté. APRES PROF est donc restée en sommeil pendant 2 ans.

 

C'est durant ces 2 années 2016-2018 que de petits entrepreneurs, tous anciens professeurs, profitent de la situation et pompent autant qu'ils le peuvent le travail réalisé depuis 10 ans par l'association, et les rubriques publiées pendant 10 ans sur le Café Pédagogique pour monter très facilement leur site web et leur offre de services divers et variés. Nous avons défriché le sujet, posé les problématiques, proposé des solutions, et certains sont venus juste récupérer les fruits de notre travail de précurseurs, sans citer leurs sources pour la plupart. 

 

Le 22 Décembre 2016:

 

Rémi BOYER rencontre à Paris en entretien privé (dans un café) Jean-Michel BLANQUER qui vient de publier "L'Ecole de Demain" en citant son action d'Aide aux Profs ainsi que l'ouvrage "Souffrir d'enseigner...Faut-il rester ou partir ?" qu'il a co-écrit avec José Mario HORENSTEIN, ancien médecin psychiatre à la Clinique de la Verrière, géré par la MGEN.

 

Lors de cette rencontre d'une heure environ, Rémi BOYER expose à Jean-Michel BLANQUER, qu'il rencontre alors pour la 2e fois, toutes ses inquiétudes en matière de Gestion des Ressources Humaines, en synthétisant les remontées du terrain, notamment sur la souffrance au travail des professeurs des écoles, une majorité de femmes. Celui qui n'est pas encore Ministre se montre très à l'écoute, avec une volonté humaniste de bien faire, s'il parvenait aux plus hautes fonctions de l'Education nationale.

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Année 2017

9 Janvier 2017:

Public Sénat propose à Rémi BOYER, Fondateur de l'association AIDE AUX PROFS, d'intervenir en direct dans l'émission SENAT 360 sur le thème de la perte d'attractivité du métier de professeur. 

 

Pour respecter sa mission au SNALC, il propose à la rédaction en Chef de Public Sénat d'y intervenir au titre de sa mission nationale de déchargé syndical, de "Responsable de Mobi-SNALC", ce qui explique que Albert-Jean MOUGIN, Vice-Président du SNALC, qui n'était pas du tout prévu, ait fait partie du plateau des intervenants, Rémi BOYER ayant lourdement insisté pour qu'il en fasse partie.

 

Rémi BOYER donnera à l'antenne ce jour-là un exemplaire de son 3e ouvrage ("Souffrir d'enseigner... Faut-il rester ou partir ?" aux intervenants présents: Yannick TRIGANCE (Secrétaire national adjoint au PS chargé des questions d'éducation) et Nathalie MONS (sociologue et responsable du CNESCO).

 

Myriam FOUASSE-ROBERT, ex prof d'anglais, qui avait été accompagnée avant 2016 par Rémi BOYER dans le cadre d'AIDE AUX PROFS vers une Indemnité de Départ Volontaire, a témoigné lors du reportage présenté.

 

Débat à consulter de 0'36'00'' à 1'04'00 ci-dessous :

 

Durant l'année 2017, Rémi BOYER s'est beaucoup investi dans sa mission syndicale, intervenant en conférence auprès de 16 antennes académiques de métropole durant les années 2016-2018 auprès de 1.200 professeurs pour leur parler de "bien-être au travail" et de "mobilités professionnelles choisies".

 

Sa mission l'intéressa beaucoup, et il trouva à cette occasion plaisir à être en présentiel avec des professeurs en attente de réponses, de possibilités d'évolution. Ce fut différent de ce qu'il avait expérimenté avec son association, et cette expérience professionnelle lui permit donc d'être investi 2 ans dans ce qui le passionnait, ce qui lui permit d'en percevoir les avantages et les inconvénients aussi.

 

L'avantage était d'être épaulé financièrement par le syndicat pour ses déplacements et d'être dispensé de l'organisation des rencontres, et d'être payé par l'Education nationale pour cette décharge. il mesura cette chance qui lui fut offerte, et dont il n'abusa pas, ayant travaillé "7 jours sur 7 et environ 300 jours par an", plus de 12h par jour sur ce dispositif.

 

L'inconvénient était de faire pour d'autres ce qu'il avait été capable seul de concevoir de 2006 à 2016 avant cette expérience. Il s'est promis en 2018 qu'on ne l'y reprendrait plus, et qu'il lui faudrait trouver une solution pour retrouver son autonomie, en développant de nouveau l'association AIDE AUX PROFS.

 

Ces explications te permettent, lecteur, de comprendre qu'animer une association n'est pas un long fleuve tranquille, lorsqu'il s'agit de conduire son parcours professionnel et personnel en parallèle, sans envie de renoncer définitivement à son engagement associatif. Cela peut alimenter ta réflexion, si tu es dans la même situation.

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